Ce jour là, je n’avais pas mis mes bottes de marin. Je décidais de me rendre sur les lieux qui faisaient parler la France. La Seine et ses inondations.
L’appareil photo dans le sac, des tennis noirs aux pieds. Je me précipitais vers Austerlitz. Un peu déçue… Mouais !
bon, on va tenter quelques clichés originaux. Éviter à tous prix la Seine pleine comme une huitre.
J’ai beaucoup marché, j’ai beaucoup scruté, j’ai zoomé, j’ai osé dépasser les lignes interdites et oui, je suis comme ça ! J’ai… pris… des photos. Ohh ?… Sans dek !
Autant dire que je n’étais pas la seule.
Après les tempêtes de l’île de Sein, je dois avouer que mon cœur n’a pas battu au même rythme.
Tranquille la ville ! Ça va, je minimise mais l’eau à fait quand même des dégâts. Malgré tout, j’y ai vu de la poésie.
C’est si romantique ces eaux qui bouillonnent, qui écument et qui montent, qui montent jusqu’à effleurer les coucougnettes du zouave.
Austerlitz ? … Plutôt Water l’eau !